Le duc de Wellington
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Wellington : le chef de guerre et l'homme.La plupart des personnes qui etudient la bataille de Waterloo ignorent tout de la personnalite et des methodes de Wellington. Sans un examen prealable des campagnes du general, invaincu en Inde, dans la peninsule iberique et en France meridionale, l'etude des journees de juin 1815 est vide de sens. Le professeur Henri Bernard, officier, ancien combattant, grand resistant et professeur a l'Ecole Royale militaire, pour la premiere fois en langue francaise, etudie l'homme mais aussi, et surtout, sa strategie. L'auteur nous presente ce grand homme de guerre que fut Wellington et nous explique les negligences de Napoleon. En effet, si ce dernier n'avait pas omis de l'etudier lui et ses victoires, jamais il n'aurait livre la bataille de Waterloo a cet endroit et de cette maniere. Nous decouvrirons egalement un homme sensible qui fit la guerre a contrecA ur et qui avait horreur des sacrifices humains, que ce soient ceux de l'ennemi ou des siens. Tout Wellington est resume dans l'une des phrases qu'il prononca au soir de la bataille de Waterloo : Comment, avec de telles pertes, pourrais-je ressentir la moindre joie de ma victoire ? Decouvrez une analyse approfondie du duc, de sa personnalite, de son sens de la strategie, et de sa sensibilite.EXTRAITMais Berthier, l'incomparable, n'est plus la. Rallie a Louis XVIII, retire avec celui-ci a Gand lors du retour de Napoleon, il s'en est alle ensuite, via Bruxelles, vers Bamberg en Baviere ou il meurt accidentelle-ment le 1er juin 1815. Le chef d'etat-major que Napoleon a choisi, lors de son retour de l'ile d'Elbe, est le marechal Soult qui n'a aucune expe-rience de ces fonctions. Non seulement au cours de cette breve campagne les ordres ecrits sont imprecis, mal rediges, souvent crayonnes sans date ni signature, mais beaucoup d'ordres verbaux, meme tres importants, ne sont pas confirmes par ecrit. Quant aux officiers de liaison de jadis, beaucoup sont morts, quelques-uns sont a Gand, d'autres comman-dent des regiments de cavalerie legere ou ils feront merveille. D'aima-bles jeunes gens leur ont succede, qui mettront six heures pour faire deux lieues, se tromperont de route cinq fois sur six et arriveront tou-jours trop tard... pour autant qu'ils arrivent. Ainsi la campagne de Napoleon en 1815, sera-t-elle, en tout premier lieu, marquee par la faillite de la liaison et des transmissions.
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